Impact psychologique

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Lorsqu'on rencontre une personne, lorsqu'on discute avec une connaissance, notre regard se pose sur son visage, ses yeux et  ce qui est proche des yeux ... les cheveux.

C'est ainsi que l'on va généralement décrire ou citer une personne selon l'aspect des cheveux: le grand blond, la petite brune, le chauve, le rouquin, la bouclée,...

 

 
Dans notre société, les médias, les publicités, les acteurs, les chanteurs... tout est dépendant de la beauté, de l'apparence... lié à la réussite, à la confiance en soi, à la montée sociale. La chevelure est soignée, étudiée, quelquefois même assortie selon les tenues vestimentaires. Ou serait-ce parfois l'inverse?

On comprend donc aisément l'importance du physique.

 

Les personnes interrogées, présentant ou non une chute de cheveux apparente un crâne dégarni à : un vieillissement prématuré, à une diminution de la séduction et une diminution de l'attrait physique.

Les personnes présentant une chute de cheveux ressentent une souffrance interne, une dévalorisation, une diminution de l'estime de soi, une anxiété sociale, une diminution du bien être social, un stress, une dépression.

Ces personnes souffrant d'alopécie se focalisent d'autant plus sur leur problème de perte de cheveux : elles pensent que tout le monde ne voit et ne regarde que leur chevelure,que leur crâne qui se dégarnit.

 

Le rôle des cheveux et de leur perte n' est pas une nouveauté. Cela fait des siècles que les perruques ont été inventées et utilisées pour masquer cette partie de soi.

La transplantation capillaire, surtout la FUE, est un moyen efficace de remédier à ce problème de manque de cheveu dans de nombreux cas.

 

 

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